FORMATION
Gaël DUFOIX ostéopathe exclusif. Diplômé du Collège Ostéopathique Sutherland (île de France) et de l’Ecole Ostéopathique de Paris, écoles agréées par le Ministère de la santé, j’ai effectué ma formation en 5 ans. Durant mon cursus, j’ai suivi un enseignement des techniques viscérales, crâniennes, tissulaires et structurelles (incluant l’ostéopathie périnatale & pédiatrique).
Formation post-graduée en ostéopathie somato-émotionnelle.
Ostéopathe passionné, je m’engage à approfondir sans cesse mes connaissances par le biais de recherches personnelles, de séminaires et de formations continues pour être toujours à la pointe et vous offrir les traitements les mieux adaptés.
Anciennement membre de « SOS OSTÉOPATHES » et ostéopathe du C’Chartres Football (national 2).
En étant praticien de première intention (décret de mars 2002), je suis habilité à réorienter mes patients en collaborant avec l’ensemble des autres professionnels de santé, et n’entreprends pas de traitement ne relevant pas de mes compétences.
L’ostéopathe exclusif ayant suivi une formation complète, garantit la qualité et la sécurité des soins.
L’ostéopathie appréhende le corps dans sa globalité, elle vise à diagnostiquer, et à ajuster les déséquilibres et les pertes de mobilité des différentes structures composant le corps humain, susceptibles d’en altérer l’état de santé : articulations, muscles, os, tissus, viscères, ligaments.
Elle est fondée sur la capacité d’auto-guérison du corps, et sur une connaissance approfondie de l’anatomie et de la physiologie humaine.
L’ostéopathe n’utilise que ses mains, à la fois comme outil de diagnostic et de soins. Il perçoit tensions et dérèglements grâce à un toucher spécifique, minutieux, exact.
L’ostéopathie est tout aussi préventive que curative. En effet, elle ne se contente pas de traiter le symptôme, il en cherche les causes dans la globalité du patient, pour éviter les récidives.
Adaptée à chaque patient, en fonction de son âge et de sa morphologie, l’ostéopathie apporte sa contribution à la femme enceinte tout au long de sa grossesse, aux nourrissons, aux enfants, aux adultes, aux personnes âgées et aux sportifs, professionnels ou amateurs.
C’est une autre façon de soigner, à la croisée de la médecine scientifique et des thérapies traditionnelles naturelles.
Pour autant, elle ne prétend nullement se substituer à la médecine.
Pour des douleurs aiguës
Pour des douleurs chroniques
Pour des séquelles de traumatismes
En prévention
Son innocuité, son action préventive et son effet curatif ont cependant des limites et l’ostéopathie ne prétend pas tout soigner.
L’ostéopathe recherche les manifestations cliniques qui relèvent d’une autre discipline que la sienne (chirurgie, médecine, kinésithérapie…) et n’hésite pas à réorienter vers un autre professionnel de santé si cela est nécessaire.
L’ostéopathie intervient en complément de la médecine allopathique et ne prétend pas guérir les maladies cancéreuses, dégénératives, génétiques, infectieuses ou mentales, ni les fractures et luxations orthopédiques. Cependant, elle peut agir sur les conséquences, et plus particulièrement sur la douleur en libérant les tensions des structures environnantes.
Adulte
En préventif
En curatif
Troubles fonctionnels
Enfant
Accompagnement de la croissance et du développement psychomoteur
Troubles de l’Apprentissage et du Comportement
Traumatismes liés aux Chutes et au Sport
Maux de dos (port du cartable),
Suivi postural: scoliose, traitement orthodontique, …
Anxiété, stress, trouble du sommeil, hyperactivité
Otites à répétition et autres infections ORL
Senior
Constipation
Insomnies
Raideurs
Rhumatismes
Arthrose
Sportif
Bilan avant la reprise
Préparation d’une épreuve sportive
Amélioration des performances sportives
Récupération physique après une compétition
Tendinites, douleurs musculaires
Suite à une entorse, fracture, luxation, élongation
Suite à une chute ou à un traumatisme direct
Femme Enceinte
Nausées, vomissements, constipations, reflux gastro-œsophagiens
Troubles circulatoires (jambes lourdes, hémorroïdes…)
Sciatalgies, cruralgies
Fuites urinaires
Douleurs de dos
Stress
Préparation du bassin à l’accouchement
Suites de couches & les mois suivants
Nourrisson
Bilan après la naissance
Naissance difficile (utilisation de forceps, césarienne)
Asymétrie du crâne
Torticolis congénitaux
Cris, pleurs inconsolables, « coliques »
Reflux, régurgitations
Hyper ou hypo-activité
Troubles de la succion
Canal lacrymal bouché
Troubles du sommeil
Elle se décompose en 3 parties:
Une séance d’ostéopathie dure approximativement 45min.
Le nombre de consultation nécessaire peut varier de 1 à plusieurs, l’ostéopathe devant à chaque consultation évaluer le bénéfice de son travail. La durée du traitement est adaptée à l’état de santé du patient, aux motifs de consultation et à l’évolution constatée au cours de la prise en charge ostéopathique.
Prestations :
60€ pour une consultation au cabinet
80€ pour une consultation à domicile (dans un rayon de moins de 15km)
Les traitements ostéopathiques, quelque soit le praticien qui les dispense, ne sont pas remboursés par l’assurance maladie.
Mais de très nombreuses mutuelles proposent selon les contrats une prise en charge (remboursement intégral, forfaits…).
Il vous suffira de transmettre à votre mutuelle la facture de la séance.
Cliquez ici pour voir la liste des mutuelles remboursant les séances d’ostéopathie.
6 Rue de Chavannes, 28630 MORANCEZ
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Non. Son nom d’origine américaine est un faux ami dans le langage français.
L’ostéopathie vient de la combinaison de 2 mots grecs :
Ostéopathie « os » et « pathie » veut donc dire « l’influence des os en relation avec la maladie », mais il ne signifie pas la « maladie des os » !
Une science parce qu’elle repose sur des connaissances très approfondies de l’anatomie, de la physiologie, de la biomécanique et de la sémiologie.
Un art parce que l’ostéopathe DO devra sentir (dans le langage ostéopathique, on dit écouter) avec ses mains toutes les réponses aux tests diagnostiques. Il devra interpréter les tensions avant de les normaliser. Son travail thérapeutique manuel devra en permanence équilibrer la quantité et la qualité de son geste pour plus d’efficacité.
Il n’existe pas de règle à ce niveau: votre ostéopathe est le seul juge et cela dépend de votre motif de consultation, de l’ancienneté des troubles, de vos antécédents (médicaux, chirurgicaux, traumatiques…), de votre âge et de la possibilité de votre organisme à réagir à la séance (homéostasie). En tout état de cause, il faut toujours espacer les séances d’un minimum de temps (15 jours à 3 semaines) afin de laisser votre corps s’adapter. Votre thérapeute va tenter de rééquilibrer votre schéma corporel de manière à ne pas avoir à ré intervenir trop fréquemment. En général, on pourrait considérer qu’il faille entre 1 à 5 consultations suivant les cas.
L’ostéopathie, doit vous procurer des résultats rapides, francs et définitifs. Si votre problème relève de l’ostéopathie, c’est-à-dire si l’indication est la bonne, la première séance doit être décisive sur l’évolution, quelle que soit l’ancienneté de votre problème en jour, en mois, en années, voire en décennies. La plupart du temps, une seule séance est suffisante pour prouver l’origine mécanique et réductible de votre problème : Elle doit dans ce cas vous apporter un pourcentage d’amélioration très largement supérieure à 70 % pendant une durée suffisamment longue. Si votre problème est ancien, il faudra bien entendu ré intervenir de temps en temps, et en moyenne entre 2 et 6 fois sur une période de deux ans, donc avec des séances relativement espacées.
La plupart des patients qui ont souffert pendant longtemps et qui ont été soulagés rapidement trouvent effectivement un confort certain à venir une fois par an en séance d’entretien.
Non…
L’ostéopathe est reconnu comme praticien de première intention. C’est à dire qu’il est habilité à recevoir directement le patient sans prescription médicale préalable.
* En dehors de la prise en charge du nourrisson de moins de 6 mois qui nécessite un certificat de non contre-indication à la pratique ostéopathique.
Tout d’abord, le Kinésithérapeute travaille uniquement sur prescription médicale, après diagnostic du médecin. L’Ostéopathe reçoit le patient en première intention.
L’OSTÉOPATHIE ET LA KINÉSITHÉRAPIE SONT DEUX DISCIPLINES DÉSORMAIS SÉPARÉES PAR LA LOI.
LA FORMATION ET L’APPROCHE THÉRAPEUTIQUE SONT BIEN DISTINCTES.
La Kinésithérapie est plus analytique et se concentrera quasi exclusivement sur la zone douloureuse. Par exemple, pour une douleur d’épaule, elle cherchera à étirer les muscles, détendre la zone, palier au geste douloureux en réorganisant le mouvement. Il utilise à la fois ses mains et des appareillages. Pour améliorer vos amplitudes de mouvement, il effectue un travail principalement musculaire.
L’Ostéopathie, plus systémique, s’attardera à la mécanique de l’épaule, mais également à toutes les structures à distance en interrelation avec l’épaule. Les cervicales, la base du crâne, les articulations costo-vertébrales, dorsales, le système digestif….
Encore, l’Ostéopathe n’agit que sur les structures qui ont gardé leur potentiel de changement d’état. La Kinésithérapie rééduquera le patient quand le potentiel sera dépassé et la structure dans un état irréversible (atteinte neurologique, maladie dégénérative…).
L’ostéopathe n’utilise que ses mains. Il effectue un travail essentiellement articulaire : les manipulations mettent en jeu des réflexes qui déraidissent vos muscles, pour améliorer vos amplitudes de mouvement. Il aborde également les troubles de l’appareil digestif et de la biomécanique du crâne.
L’Etiopathie est une branche de l’Ostéopathie, née dans les années 1960, pour des raisons plus politiques que thérapeutiques. L’Etiopathie demeure une profession non réglementée, comme l’Ostéopathie avant 2002.
La Chiropractie est très développée dans les pays Anglo-Saxons, réglementée et bien organisée. Elle est également reconnue en France.
Elle utilise beaucoup les manipulations à haute vitesse sur la colonne vertébrale, pour agir par réflexe sur tout le corps.
Oui, ces deux thérapies sont certes différentes, mais sont toute aussi complémentaires. Les séances de l’un décuplent l’efficacité des séances de l’autre et vice et versa. Allier ces deux thérapies permet une guérison plus rapide et plus efficace dans le temps.
Il est important que l’Ostéopathe intervienne avant le Kinésithérapeute, pour lever les raideurs profondes. Le travail en Kinésithérapie est alors plus efficace.
Il est très important de souligner que le médecin et l’ostéopathe ne sont pas des concurrents.
Le médecin et l’ostéopathe sont indépendants l’un par rapport à l’autre mais de plus en plus, ils travaillent main dans la main à la guérison du patient.
Les radiographies sont utiles afin de savoir s’il n’y a pas de contre-indication à l’ajustement et de voir comment corriger votre dysfonction vertébrale. Si vous ne disposez pas d’examens récents, votre ostéopathe, s’il le juge nécessaire, vous réorientera vers votre généraliste pour avoir prescription.
Veuillez apporter tous vos résultats antérieurs de tests en rapport avec votre état de santé actuel et antérieur que vous avez en votre possession : bilan sanguin, urinaire, radiographies, IRM, votre liste de médicaments, etc…
Ces documents peuvent me fournir des informations précieuses dans la décision des soins de thérapies manuelles.
Sachez par ailleurs que le risque d’accident grave suite à la prise d’anti-inflammatoire est de plusieurs centaines de fois supérieur à celui d’une manipulation. Pour livrer quelques chiffres, on comptait, dans les années 1990, environ un accident pour un million de manipulations, l’accident étant dû à un praticien non ostéopathe. En parallèle, on recensait un mort pour 250 000 prises d’anti-inflammatoires.
Les accidents de manipulation sont donc extrêmement rares !
Le risque survient principalement en manipulation cervicale, lors d’une manœuvre forcée en grande rotation. Je m’interdis ce genre de technique !
Les gestes thérapeutiques sont choisis et adaptés au cas par cas pour votre sécurité et votre santé.
L’ajustement ostéopathique nécessite une dextérité qui s’acquiert au fil des 5 années d’études. Un traitement bien réalisé est parfaitement indolore.
Cette technique est souvent redoutée car elle produit un bruit de craquement. Elle ne vise pas, comme le croit la légende populaire, à remettre en place des os ou des vertèbres qui seraient » déplacés «, mais à redonner un bon mouvement à une articulation. Après un diagnostic précis, l’ostéopathe applique sur l’articulation une force mesurée visant à libérer le blocage de l’articulation.
Le craquement n’est que la conséquence de ce mouvement et s’explique de la manière suivante :
Dans toutes les articulations du corps existe du liquide articulaire (un peu comme de l’huile dans les rouages mécaniques) ;
Dans ce liquide existe du gaz dissout. Lorsque l’on ouvre, par manipulation, l’articulation (exemple les doigts) on crée une pression négative dans l’articulation, le gaz dissout passe alors à l’état gazeux (se forme une bulle de gaz dans l’articulation). C’est ce changement d’état du gaz qui provoque le CRACK sonore et non pas une quelconque remise en place.
Toutes les articulations peuvent donc craquer, même celles qui ne sont pas bloquées, le craquement ne veut donc rien dire. Et avant de pouvoir refaire craquer une articulation il faut attendre que la bulle de gaz se redissolve ; pour pouvoir à nouveau reproduire ce phénomène et refaire craquer l’articulation (raison pour laquelle on ne peut faire craquer 2 fois de suite ses doigts).
Il faut bien comprendre également qu’il existe différentes manières de faire craquer une même articulation donc un geste pratiqué sur le bon étage bloqué peut être totalement inefficace, même si un crack sonore s’est fait entendre.
Peut-on libérer les articulations par d’autres techniques ?
Parfois oui, mais souvent rien ne remplace dans l’efficacité la manipulation et, si seules d’autres techniques sont pratiquées, cela revient à frotter un moteur perdant de l’huile avec un chiffon sans réparer la fuite !
Existe-t-il des contre-indications à la manipulation ?
Oui, elles sont de deux types :
Ostéoporose avancé, malformations, fracture fraiche, fragilité
Certaines zones bloquées le sont pour compenser un perte de mobilité sous ou sus jacent, la libération de ce blocage seul entrainera un soulagement sur le coup et sera suivi d’une aggravation de la douleurs peu de temps après.
J’insiste sur ce fait, car il est tentant pour beaucoup de kinésithérapeutes ou de médecins mal formés de faire craquer ces zones raides, et alors problème !
L’expérience de l’ostéopathe saura l’aider à choisir le meilleur plan de traitement.
Pour qu’une séance d’ostéopathie soit la plus efficace possible, il est important de bien gérer l’après-séance.
L’ostéopathe aura beau libérer les tensions du patient, si ce dernier ne suit pas ces quelques conseils de base, la consultation pourra n’avoir servi à rien.
Juste après, il est recommandé de faire une petite marche d’une dizaine de minutes afin que le cerveau intègre à nouveau le mouvement de ses articulations.
Un bain chaud après un travail musculaire peut aider au traitement.
Les sportifs auront tendance à vouloir reprendre l’entraînement au plus vite,
C’est humain, mais cela reste une erreur !
En effet, il faut laisser le temps aux tissus de se réadapter au traitement réalisé, sans les sursolliciter, par ailleurs. 48 heures sans efforts physiques intenses sont nécessaires.
Ce temps varie selon le type de séance et l’adaptabilité du corps du patient.
Pendant 72 heures, il faut également être vigilant à son hydratation, car une bonne hydratation permet d’aider le corps à éliminer les toxines et déchets sanguins via les émonctoires (foie, reins, peau…).
Parfois, les dérèglements du corps qui poussent un patient à consulter un ostéopathe sont dus à des facteurs environnementaux qu’il est possible de changer.
Une mauvaise literie peut, par exemple, alimenter douleurs et blocages, qui reviendraient malgré la prise en charge ostéopathique.
Les réglages du siège conducteur dans une voiture, la position de travail, la hauteur du clavier et de l’écran d’ordinateur par rapport au siège, le non-port de lunettes sont autant de facteurs du quotidien susceptibles de générer des dysfonctions.
L’ostéopathe prend en charge le patient et lui apporte les outils nécessaires à son bien-être et à l’amélioration de sa qualité de vie.
Cependant, le patient doit prendre une part active dans la réussite du traitement en modifiant de mauvaises habitudes de postures ou d’ergonomie de travail.
Un mouvement a priori familier peut, sur des dysfonctions préexistantes, engendrer un blocage et de fortes douleurs. L’ostéopathe est à même de soulager le tissu en souffrance et de comprendre pourquoi la zone qui souffre est fragile.
Il s’attachera donc à régler les dysfonctions préexistantes pour traiter à la fois la douleur et la cause du blocage.
Le crâne est constitué de 25 os, ces os sont reliés entre eux par des sutures permettant un mouvement des os du crâne entre eux. Ces mouvements s’effectuent autour d’axes clairement définies. En effet un crâne n’est soudé que chez le cadavre, chez tous les êtres vivants le crâne bouge.
L’ostéopathie crânienne consiste à refaire bouger ensemble harmonieusement tous ces os, pour cela l’ostéopathe pose ses mains d’une certaine manière sur le crâne, il sent le mouvement simultané fin de ses os et par de petites pressions exercées sur différents os il redonne du jeu aux sutures bloquées.
Les conséquences sur les organes des sens, les nerfs crâniens, les différentes parties du cerveau sont évidentes. En ce sens, le travail crânien sur les bébés et les enfants dont les os du crâne sont en cours d’organisation doit être prioritaire. Mais l’ostéopathie crânienne n’a de sens que comprise dans la globalité du corps.
Pour toutes autres questions, vous pouvez me contacter par mail en vous rendant directement dans l’onglet CONTACT.